Projets mis sur pied par les jeunes ministres de l’environnement

Projet à venir

Je travaille avec une organisation qui se nomme « Les Amis du Champ des Possibles ». Le contrat consiste essentiellement à aller nettoyer un parc et se débarrasser de tout ce qui pourrait nuire au parc (plastique, déchets, sacs, etc.). Je fais le nettoyage du parc une fois par semaine. J’aime le faire parce qu’à chaque fois que je ramasse des déchets dans le parc, je me sens fier de moi-même. Je sais que, pour atteindre un grand objectif, il faut commencer par de petites étapes! Ce projet n’est pas 100% en lien avec les changements climatiques, mais j’en suis tout de même fier!

Le projet consiste à faire pousser des légumes et des fines herbes dans chaque classe. Par la suite, les semis sont vendus aux élèves entre 1$ et 5$. L’argent récolté est ensuite donné à Oxfam afin d’aider à la réalisation d’un projet d’aide internationale.

Ce projet est réalisé par tous les élèves qui participent à l’entretien des pousses dans chaque classe et par les membres du comité EVB de l’école.

En 2017-2018, nous avons réussi à amasser 500$ en vendant nos semis!

Le comité EVB de mon école fait plusieurs projets et projette d’en faire d’autre. On s’occupe du boisé et on tente de faire de notre ville, une ville verte. Nous plantons des arbres et participons à plusieurs activités intéressantes.

Le comité EVB, dont je fais partie, plante des arbres et des arbustes dans la cour d’un CPE situé à proximité de mon école. Ce projet n’a pas de nom. On aménage cette cour pour la beauté, l’ambiance et pour réduire notre empreinte écologique. Des bancs ont aussi été fabriqués. On a formé une équipe de volontaires, dont moi-même, pour travailler sur ce projet. On ne s’ennuie jamais!

« Environnement parlant » est le nom de mon projet lié aux changements climatiques sur lequel je travaille présentement. Celui-ci consiste à sensibiliser les gens sur divers problèmes environnementaux et à les informer sur les solutions possibles grâce à des capsules vidéo. Je travaille sur ce projet avec ma sœur. Jusqu’à maintenant, nous avons sélectionné quelques sujets, recueilli de l’information sur ceux-ci et débuté le tournage des vidéos. Plus tard, nous les publierons sur notre chaine Youtube.

Je n’ai pas vraiment de gros projet concret présentement, mais je pourrais dire que dans le cadre de ma vie personnelle, je fais la transition vers un mode de vie zéro déchet et écologique. Pour débuter, j’ai coupé tous les aliments issus de l’exploitation animale de mon alimentation, il y a de ça plusieurs mois à cause de l’impact environnemental de cette industrie.

De plus, depuis quelques temps, je minimalise au quotidien mon empreinte écologique. Voici quelques exemples : je magasine presque uniquement dans les friperies, je fais du compost dans la forêt derrière chez moi, j’apporte mon kit zéro déchet avec moi partout où je vais (paille en métal, sac à collation réutilisable, ustensiles en bambou, etc.), j’utilise des produits écologiques tels qu’une brosse à dent compostable, un déodorant biodégradable, du shampooing venant d’une compagnie prenant des mesures pour réduire la pollution, et plusieurs autres. J’essaie aussi de sensibiliser mon entourage à l’importance de prendre conscience de la gravité de l’état de la planète.

En bref, je fais beaucoup d’efforts pour changer les choses, car je crois réellement que chaque petite action fait une différence à l’échelle planétaire.

J’ai de nombreuses idées pour un projet à réaliser au courant de l’année 2018-2019! Plus de détails sont à venir…

Je fais partie de la Coop à contre-courant, qui est une coopérative à but non-lucratif gérée par les élèves, qui existe afin d’amasser des fonds en vendant des produits bio-équitables. Les profits sont donnés à des organismes qui nous tiennent à cœur (ex.: Oxfam-Quebec et Amnistie internationale) ou nous permettent de réaliser des projets comme le café étudiant. Depuis maintenant un an, nous essayons d’avoir un local pour concrétiser notre idée de café étudiant qui deviendrait un lieu de partage, d’information, de sensibilisation et également un endroit pour offrir une plus grande diversité de produits. Nous sommes également fiers de nos ventes records en 2017-2018 et de notre nouveau titre de « Magasin du monde » par Oxfam-Québec!

Depuis septembre 2017, le comité environnement de mon école (dont je fais partie) travaille sur la production et la diffusion de capsules vidéo décrivant les bienfaits du recyclage et comment trier adéquatement. C’est un projet qui me tient beaucoup à cœur parce qu’il inclut également la sensibilisation des jeunes du primaire à la récupération. Nous comptons diffuser notre dizaine de petites capsules sur le web durant l’année scolaire 2018-2019.

Nous avons également participé à une importante plantation d’arbres pour compenser les émissions de gaz à effets de serre en lien avec la tenue du Sommet du G7 dans notre ville. C’était une très belle expérience pour nous tous d’avoir pu travailler avec des experts en changements climatiques.

Dans le cadre de l’école, nous souhaitons abolir la vente de bouteilles d’eau en plastique. Nous voulons inciter les gens à utiliser des gourdes réutilisables en cessant la vente de bouteilles jetables dans les machines distributrices. Nous sommes rendus à l’étape de déterminer les grandes étapes du projet puis de décrire notre projet sur papier. Plus de détails à venir en 2018-2019!

Au cours des derniers mois, j’ai eu une certaine inspiration après avoir été impliquée dans plusieurs projets tels que le livret « Chanvrons la Terre » que j’ai rédigé et qui porte sur l’utilisation et les impacts positifs du chanvre industriel.

Aussi, avec le gouvernement étudiant de mon école, nous avons organisé un défilé recyclé pour sensibiliser les gens à la surconsommation vestimentaire et ramasser des fonds pour notre comité.

J’ai aussi eu la chance d’être ambassadrice EVB de ma région, en 2017-2018.

Ma plus récente implication a été de créer des affiches de sensibilisation sur divers sujets, pour accrocher dans mon école secondaire et ailleurs.

Nous savons tous que les îlots de plastique dans les océans sont bel et bien réels. Donc, nous avons pensé au projet « La fierté de s’hydrater sans polluer ». Celui-ci consiste à éliminer éventuellement l’utilisation et l’achat de bouteilles d’eau en plastique qui sont irrécupérables dans notre école, en mettant en vente des bouteilles réutilisables à un prix plus qu’abordable. Ce projet a été pensé par le comité Unesco de mon école secondaire et les premières bouteilles réutilisables seront mises en vente à la rentrée scolaire 2018-2019. Bref, notre but ultime est que les élèves privilégient l’utilisation de leur bouteille réutilisable au lieu d’acheter sans cesse de petites bouteilles qui polluent et qui, au final, se retrouvent dans des endroits où elles ne sont pas supposées être (ex: océans) ou qui font du mal aux animaux.

Durant l’année scolaire 2017-2018, le comité environnemental, dont je fais partie, a mis en place le compostage dans la cafétéria de notre école. Le processus a été facilité, car à partir de janvier 2018, la municipalité a débuté la collecte des matières organiques. Ainsi, pour préparer les élèves à cette nouvelle initiative, nous, les membres du comité environnemental, avons fait beaucoup de sensibilisation : tournée des classes, messages sur les télévisions, messages dans le réveille-matin (un communiqué que tous les élèves lisent à chaque matin), affiches, etc. Le compostage est officiellement arrivé dans l’école au retour de la semaine de relâche. Nous récoltions les matières organiques dans les petits bacs fournis par la ville. Durant les deux premières semaines, des membres du comité étaient positionnés près des bacs de poubelle et de compostage pour aider les élèves dans le tri de leurs déchets. Les membres du comité environnemental s’occupent de vider les petits bacs de compostage dans le plus gros bac collecté par la ville puis de les laver. Nous avons écrit une lettre à la direction afin que cette tâche soit éventuellement attribuée au personnel de l’entretien.

À la fin de l’année scolaire, les élèves jettent une tonne de matériel scolaire encore en parfait état. Pour éviter ce gaspillage de ressources, le comité environnemental a mis en place une collecte du matériel scolaire en positionnant des boîtes près des casiers de chaque niveau. Pour faire connaître notre campagne, nous avons mis des affiches un peu partout dans l’école, notamment dans les toilettes. Nous avons aussi fait un message à l’intercom et dans le réveille-matin (un communiqué que tous les élèves lisent à chaque matin). Le résultat a été impressionnant! Nous avons récolté plus de 19 boîtes remplies de matériel scolaire encore en parfait état! Le matériel ramassé sera donné à des organismes de notre région et à des enfants dans le besoin au Guatemala, par l’intermédiaire d’un voyage scolaire organisé dans ce pays.

Ce projet est réalisé à mon école depuis quelques années et consiste à la base à récolter des fonds pour l’organisme Oxfam-Québec qui dirige cette campagne. Oxfam-Québec utilise ces fonds pour aider plusieurs communautés dans le besoin à créer et gérer des jardins pour se nourrir et plus. La partie qui me concerne est comment nous récoltons ces fonds. En fait, on fait pousser des semis à l’école et vers la fin de l’année scolaire, on les vend aux élèves, parents, enseignants, etc. Voici, en résumé, les différentes étapes qui ont été nécessaires à la réalisation du projet.

1. Pour faire des semis, la première étape est d’avoir le matériel nécessaire. Dès le début de l’année, on met de côté des rouleaux de papier de toilette vides et des contenants de plastique de toutes sortes qu’on pourra utiliser plus tard. Rendu en février, on en a accumulé une assez grosse collection! Cela nous permet de débourser moins d’argent pour des bacs à semis.
2. Ensuite, au mois de février, on met en commun tout ce qu’on peut contribuer, comme des restes de semences, de la terre, etc. Le matériel manquant est acheté avec le budget du conseil.
3. Enfin, un midi, on se regroupe dans notre local et le plaisir commence! On met des rouleaux de papier hygiénique vide dans les bacs de plastique recyclés, on les remplit de terre, on plante une semence, on les arrose et on passe au prochain bac. On identifie chaque contenant selon ce qu’il contient, que ce soit des tomates, des concombres, des haricots, etc.
4. Puis, on distribue un bac de semis par classe dans l’école. Dans chaque classe, une élève est responsable d’arroser les plantes et de s’en occuper. Les autres semis sont placés sous des néons obtenus grâce au prix Desjardins dans la salle commune de l’école. Les enseignants et les élèves passant par là sont invités à les arroser si personne ne l’a fait ce jour-là. Un calendrier avec la signature de la personne ayant arrosé chaque jour permet d’éviter que les pauvres plantes ne meurent noyées.
5. Finalement, lorsque les plants ont atteint une bonne grosseur, on planifie la vente. On annonce la date choisie sur le site de l’école, les médias sociaux, à l’intercom, etc. Souvent, des enseignants et des parents nous donnent leurs surplus de semis ou des fleurs de leurs jardins pour qu’on ait plus de plantes à vendre.
6. Pour finir, on s’installe un midi devant la salle commune de l’école et la vente commence. Chaque plant est vendu à 1$, 2$ ou 5$ dépendant de leur grosseur et force. Des élèves s’occupent de la caisse et d’autres du « service à la clientèle ». En bref, c’est une expérience assez amusante. Par la suite, on compte l’argent amassé. Le montant augmente d’année en année avec l’expérience qu’on gagne et l’an passé nous avons accumulé plus de 300$. Une grosse partie du montant, variant entre 50% et la totalité, est envoyée à Oxfam-Québec pour leur campagne. Le reste va dans le budget du conseil pour les semis de l’année suivante.

Je fais partie d’un comité, à mon école, qui organise un forum sur la lutte aux changements climatiques. Pour l’instant, il se nomme toujours le Forum Jeunesse sur la Lutte aux Changements Climatiques 2018, ou FJLCC18. Le comité est composé de 6 élèves et de trois adultes, responsables entre autres d’encadrer l’organisation et de gérer le volet plus technique de la journée (contact avec les directions, budget, demandes de subventions…) Nous travaillons à organiser cette journée où se rencontreront des élèves du secondaire provenant de diverses écoles de la région de Québec. À la fin de la journée, suite aux conférences et ateliers, nous souhaitons que chaque école représentée reparte avec un projet qu’elle aura choisi et monté, afin de le réaliser et de lutter activement contre les changements climatiques. Jusqu’à présent, le travail effectué a surtout été par rapport au contenu de la journée : combien de gens attendons-nous ? comment se déroulera la journée ? qui seront nos conférenciers ? quels seront les activités et ateliers ? … Du côté des responsables, des subventions ont été demandées, la date de la journée a été confirmée avec la direction et une lettre officielle a été envoyée aux différentes écoles de la région de Québec afin de les inviter à participer à la journée. Dès la rentrée, le travail reprendra. Nous communiquerons avec les différentes écoles, les conférenciers et personnalités que nous souhaitons inviter. Nous finaliserons notre horaire et veillerons à ce que la journée se déroule bien, en prévoyant les différents repas, espaces, bénévoles… Il reste beaucoup à faire !

Je ferai également partie du conseil environnement du collège l’an prochain, où plusieurs projets seront envisagés. Parmi eux, certainement, il sera question de davantage de recyclage, mais les autres projets resteront à déterminer en début d’année.

Le nom du projet sur lequel j’ai travaillé la dernière année est Univert. Il consistait à réduire l’empreinte écologique de mon école secondaire ainsi que de sensibiliser les élèves et les enseignants. Ce projet a été réalisé par mon équipe et moi, soit Marianne Fortin, Virginie Kenler, Léo Martineau-Côté et moi-même. Un échange interculturel entre des élèves Japonais de l’école Sagano High School et mon équipe (afin de partager sur nos environnements et nos enjeux), une vidéo publicitaire créée dans le but de promouvoir de façon humoristique l’importance du recyclage (https://www.youtube.com/watch?v=7znZEgmz6_A&feature=share), un rapport comprenant des démarches que de futurs élèves pourront entreprendre afin de réduire l’empreinte écologique de l’école, un rapport comprenant ce que nous avons fait avec les étudiants japonais et une pétition afin de faire installer le moteur de recherche Ecosia et l’impression recto verso par défaut sur les ordinateurs du Collège sont ce que nous avons fait.

En bref, les projets qui pourraient permettre de réduire l’empreinte écologique de l’école sont :

— Réduire la quantité d’eau gaspillée dans les réservoirs des toilettes de l’école.

— Réduire le gaspillage et les coûts en demandant à la direction de programmer tous les ordinateurs (des prochains élèves Protic, un programme qui intègre les technologies de l’information et des communications dans toutes les matières enseignées au secondaire) sur le moteur de recherche Ecosia (qui verse 80% de ses revenus publicitaires à un programme de reforestation présent partout dans le monde) ainsi que les impressions recto-verso par défaut.

— Installer des murs végétaux et/ou de cadres de plantes et de fleurs naturelles sur mesure.

— Distribuer des arbres aux élèves et membres du personnel.

L’année dernière fut très importante pour notre café étudiant florissant. Nous avons fait la transition à une coop et la fréquentation du café devint rapidement une habitude pour les élèves de l’école.

Comme nous cherchions à apporter une facette environnementale au projet, nous avons fait un partenariat avec le commerce Bagel St-Viateur et l’épicerie du coin pour récupérer leurs pertes. Ainsi, chaque semaine les élèves pouvaient aller chercher des fruits et des bagels gratuitement au café. En plus d’éviter le gaspillage alimentaire, nous promouvions les produits plus santés. Pour ce qui en est du gaspillage matériel, nous avons installé une armoire d’échange contenant matériels de classe, livres et vêtements.

J’ai encore plusieurs idées en tête pour réduire notre impact environnemental et une équipe bien motivée.

Je prépare présentement une conférence que je présenterai à quelques reprises dans la région de Chaudière-Appalaches. Cette conférence est réalisée dans le cadre de mon projet personnel (IB) de cinquième secondaire. Son but sera surtout de sensibiliser les jeunes, acteurs de demain en ce qui concerne les changements climatiques.

Ce projet est entièrement réalisé par moi. Par contre, je peux compter sur le support de mon école dans l’élaboration de ce dernier. Pour l’instant, je n’ai pas de partenaire financier pour m’aider à le financer.
Jusqu’à maintenant, le plan de mon projet est réalisé et j’ai entamé la récolte des informations dont j’aurai besoin afin de construire ma présentation.

Il s’agit d’une semaine de sensibilisation où les membres du comité environnemental de l’école aident les élèves à éliminer les déchets de leur boite à lunch. À la fin de la semaine, nous vérifions toutes les boites à lunch pour vraiment aider les gens à comprendre comment éliminer leurs déchets et féliciter ceux qui réussissent.

Dès la prochaine année scolaire, je mettrai en place un comité environnemental à mon école. J’en ai fait la démarche à la suite du Sommet jeunesse sur les changements climatiques 2017. Pour débuter, je suis allée parler au directeur de mon niveau à propos de mon idée. Celui-ci m’a dit que pour que le comité soit mis en place, je devais trouver un adulte responsable, qui connaît l’école, pour le superviser. Donc, dès le début de l’année scolaire, je discuterai avec des enseignants (surtout de sciences) de mon projet. J’ai déjà commencé à parler de mon comité environnemental aux autres élèves de mon niveau et dès que le comité va être officialisé, je ferai des annonces partout dans mon école afin d’inviter les élèves de tous les niveaux qui eux aussi veulent faire une différence au niveau de l’environnement à se joindre dans le comité. Dans mes projets pour ce nouveau comité, je voudrais entre autres sensibiliser mon école au compostage et au recyclage.