« Je m’engage à être présente sur les réseaux sociaux Sors de ta bulle en faisant des stories d’information sur les changements climatiques, des capsules sur différents sujets, des entrevues avec des personnalités écologiques, etc. »
Nous avons raison de nous inquiéter de l’état du climat, mais baisser les bras ne mène à rien. De nombreuses études le prouvent, les conséquences des changements climatiques sont inévitables. Par contre, il nous reste toujours un certain contrôle et nous pouvons encore les atténuer.
Avec une attitude défaitiste, nous n’arriverons à rien! Beaucoup de rapports le démontrent : il est encore temps d’agir. Ce mouvement doit commencer maintenant, pour assurer le renfort des prochaines générations.
« Il n’est pas trop tard! On croit souvent que nos gestes ne servent à rien mais c’est faux! La meilleure façon de changer les choses est de le faire soi-même. Alors implique-toi et change les choses! C’est mieux d’essayer et que rien ne change, que de ne rien faire puis le regretter ensuite! »
« Je m’engage à encourager un discours visant à trouver des solutions réalistes qu’on pourrait appliquer au Québec. Je m’engage aussi à m’informer sur diverses perspectives afin de proposer des solutions qui seraient convenables pour la grande majorité. »
« Je m’engage à faire de mon possible pour sensibiliser et mobiliser la jeunesse pour lutter contre les changements climatiques. Ensemble nous trouverons des solutions et nous changerons le monde, un projet à la fois. Maintenant on agit ! »
« Never say never. »
« Il n’est jamais trop tard pour essayer de changer une situation. Si on y met tous du nôtre, nous avons plus de chances dans cette lutte climatique. Avec l’idée qu’il est trop tard, on irait pas loin. Il faut garder espoir et ne jamais baisser les bras… ne jamais baisser les pancartes aussi 😉 »
« Je pense qu’il n’est jamais trop tard et que les personnes qui le prétendent, le disent surtout comme excuse pour ne pas agir. Il suffit qu’on commence à appliquer des solutions d’une manière progressive dans la société. Beaucoup de mouvements ont été faits dans le passé et l’histoire ne fait que se répéter. Pourquoi vivre en croyant que tout est perdu? Qui dit que c’était fini? Tant qu’il y a des penseurs et des gens prêts à agir, je pense que le changement est possible. »
« Je m’engage à essayer de trouver de nouvelles solutions, à écouter et à partager avec les membres du Conseil, à participer et à m’impliquer à l’élaboration du projet pour aider l’environnement. »
« Je pense que ce n’est pas encore trop tard pour agir. Même si certaines personnes pensent qu’il est trop tard, moi je vais quand même tout faire pour aider notre planète. »
La jeune génération est prête à se retrousser les manches pour faire face aux changements climatiques, mais plusieurs ne savent pas par où commencer. Deux expertes leur donnent des pistes pour passer à l’action.
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Pour quelqu’un qui aime la viande, manger végé peut sembler inconcevable. Mais si on désire réduire l’empreinte carbone de son assiette, diminuer sa consommation de viande, et de bœuf en particulier, est fortement recommandé.
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Premier texte d’une série de trois, portant sur l’alimentation.
Polluer ou ne pas polluer, si telle était toute la question, le choix serait très simple. Après tout, personne ne veut des problèmes qui planent sur notre environnement, personne ne tient à être partiellement responsable de catastrophes naturelles meurtrières et personne n’espère que la fin du monde arrive bientôt. Malheureusement, en pratique, manger strictement végane, strictement bio, strictement local et strictement en vrac peut s’avérer plutôt ardu, déjà que c’est difficile de s’y retrouver parmi tous ces termes.
Accumuler bébelles et meubles venant d’Asie n’aide pas la cause du climat. Voici cinq conseils pour décorer son chez-soi avec goût tout en limitant son empreinte carbone.
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S’il existait un moyen de réduire considérablement l’empreinte carbone de son assiette sans faire le moindre effort et sans dépenser le moindre sou, le feriez-vous? En fait, quelle excuse aurions-nous pour ne pas le faire? Surtout que cette action consiste simplement à moins jeter de nourriture. Sérieusement, quelle défaite, autre que la lâcheté et la paresse, avons-nous pour gaspiller autant?
Si on a le bec sucré, difficile de résister aux bonbons, aux desserts et autres friandises offerts en grandes quantités pendant le temps des fêtes. Mais attention! Ces petites gâteries peuvent aussi alourdir l’empreinte carbone de votre assiette.
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Qui n’aime pas le temps des Fêtes, cette merveilleuse période de l’année où on dépense à l’extrême, où on croule sous la pression de trouver le cadeau parfait et où on érige nos dépotoirs plus haut que l’Everest. Quand on pense à Noël, les premières images qui viennent en tête ne sont plus la famille et le partage, ce sont les achats. Désormais, l’esprit de Noël se résume en ces trois mots : dépenser, impressionner et recevoir.
Le meilleur achat pour le climat est celui que l’on ne fait pas, dit-on. Oui, mais difficile de renoncer à gâter nos proches à Noël. La solution? Opter pour des articles usagés. Nous avons repéré six endroits à Laval où trouver des cadeaux pour combler celles et ceux que vous aimez sans réchauffer l’atmosphère.
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Depuis plus de 20 ans, Dominique Langlais, enseignant à l’école secondaire du Versant à Gatineau, sensibilise les jeunes à l’environnement et aux enjeux climatiques.
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Honnêtement, il y a des moments où j’aimerais pouvoir modifier les lois de la nature à mon avantage. Retirer des mots comme dévastation ou conséquences du dictionnaire juste pour que ces concepts cessent d’exister. La vie deviendrait ainsi infiniment plus simple. Malheureusement, la réalité étant ce qu’elle est, le temps ne peut qu’avancer et ce qui est détruit, il le reste pour toujours.
