« Il n’est pas trop tard, car la limite planétaire des changements climatiques n’a pas encore été dépassée. Tant que nous agissons et vite, il reste de l’espoir. Chacun peut et doit faire sa part pour limiter les dégâts sur notre planète qui se dégrade. »
Nos goûts changent, et les vêtements que l’on ne porte plus peuvent faire le bonheur des autres. Les élèves du Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie, une école secondaire de Montréal, l’ont bien compris : elles ont organisé une garde-robe collective. Une activité bénéfique autant pour le portefeuille que pour le climat.
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Dans le cadre d’une rencontre du Laboratoire des jeunes journalistes en environnement à Québec, j’ai eu la chance d’écouter Maxime Bilodeau nous parler de la beauté du métier de journaliste. Bienvenue dans la vie d’un journaliste indépendant, particulièrement allumé par les questions climatiques.
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Avec son toit-jardin, le Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie, une école secondaire de Montréal, s’adapte aux aléas des changements climatiques. Voici la petite histoire derrière sa création.
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Analyste des politiques climatiques pour une ONG environnementale, Léa Ilardo, 24 ans, a animé une conférence au dernier Sommet jeunesse sur les changements climatiques. Juste avant son discours, j’ai eu l’occasion de lui poser quelques questions sur sa vie et de lui demander quels conseils elle donnerait aux jeunes qui veulent aider la planète à aller mieux.
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Adolescente, Émilie Bolduc accumulait les vêtements à peine portés dans sa garde-robe. Lorsqu’elle prend conscience des répercussions environnementales de l’industrie de la mode, la jeune femme change ses habitudes, puis lance sa propre friperie en ligne : Ship ta fripe.
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« Il n’est pas trop tard si on décide d’agir maintenant. Si tout le monde se dit qu’il est trop tard, alors personne n’aurait agit face à ce problème. Je trouve que plus tôt on agit, plus on a de chances de battre cette peur face aux changements climatiques. »
Habiter en banlieue n’est pas toujours synonyme de dépendance à la voiture. À Boucherville, une option s’offre aux gens pour se déplacer rapidement, sans dépenser un sou : l’autobus électrique.
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Ne plus être en mesure de fermer la porte de son garde-robe à cause de tous ses vêtements a un impact sur le climat. Voici 5 conseils qui t’aideront à réduire ton empreinte carbone tout en restant à la mode. Lire la suite ici.
Au fil du temps, le Sherbrookois et athlète olympique Jules Burnotte a appris à ajuster son discours sur le climat afin d’exercer une influence positive dans son milieu. Rencontre avec un sportif qui souhaite rester fidèle à ses valeurs. Lire la suite ici.
Si le climat te tient à cœur, il y a des chances que tu aimes en parler autour de toi. Pour te faire entendre, voici des trucs glanés lors d’un atelier sur la communication au dernier Sommet jeunesse sur les changements climatiques.
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« Je souhaiterais mettre en place une serre écologique à mon école dans le but de réduire les GES émis par l’agriculture. J’aimerais aussi organiser une conférence sur l’environnement avec des scientifiques et des représentants du pouvoir exécutif pour outiller les citoyens. »
« Il n’est pas encore trop tard, mais on doit agir rapidement et concrètement, car selon les scientifiques, le point de non-retour est proche. Nous devons commencer par changer de simples habitudes de vie, puisque cumulés, tous les petits gestes ont un impact. »
« Faire tout ce qui est en mon possible pour aider à bâtir notre avenir en faisant des actions qui peuvent améliorer l’environnement présent et futur. »
« Il reste encore de l’espoir. Toutes les petites actions peuvent avoir collectivement un impact bien plus gros que ce qu’on pourrait bien le croire. Ainsi, il est important d’être optimiste ! »
« Je m’engage à être présent et actifs aux rencontres de l’équipe et de me consacrer aux actions que nous déciderons de faire ensemble avec énergie. »
« En partie, car même on cesse nos émissions de gaz à effets de serre, le climat va changer. Cependant, on peut ralentir considérablement les dégâts si on met en place des mesures rapidement sur l’ensemble de la société. »
« Je m’engage à inviter une personnalité connue pour son mode de vie gagnant dans l’aspect environnemental et lui demander de partager ses idées et trucs dans une conférence qui serait diffusée en ligne. Pour contribuer à l’environnement, nous pouvons commencer par le mode de vie écolo de chacun. J’organiserais aussi des journées vertes à l’école. À chaque étape scolaire, il y en aurait une qui viserait à sensibiliser les jeunes, à leur donner des défis et objectifs et à leur offrir toujours des pistes de solutions ainsi qu’un mode de vie plus amical envers l’environnement. »
« Dans une de ses conférences de TedTalks, Greta Thunberg a dit que toutes les solutions pour résoudre le problème environnemental ont déjà été présentées, et qu’il nous reste qu’à agir. C’est vrai: le 6e rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) explique ces pistes d’espoir avec minutie. Il vaut mieux avoir espoir et continuer à agir, puisqu’on arrivera ainsi à limiter les dégâts et possiblement même à améliorer la situation, plutôt que tout abandonner et se laisser aller vers une fin du monde empreinte de résignation.
Voici un message d’espoir: il est maintenant plus profitable pour les compagnies d’utiliser les énergies renouvelables que les énergies fossiles, puisque les ingénieurs ne cessent d’améliorer le rendement d’infrastructures écolos, ce qui baisse leur prix. La transition vers les énergies renouvelables ne s’agit plus qu’une question de temps! »
Inspiration d’Emma Yiran : vidéo de Kurzgesagt qui discute des sujets scientifiques, environnementaux, etc.: https://youtu.be/LxgMdjyw8uw).
« Je m’engage à m’impliquer dans mon école, afin de sensibiliser d’autres jeunes à l’importance de s’impliquer en environnement. »
