« Je m’engage à travailler sur la création de programmes d’éducation plus concrets sur les bases de l’environnement, créés spécifiquement pour les jeunes dans les écoles, mais accessibles à tout le monde. L’éducation est ce qui est le plus important pour moi. »
« Je m’engage à organiser, avec la mairie de ma municipalité, un grand ménage pour ramasser des déchets partout dans la ville. Je m’engage à trouver les moyens pour amener les solutions vertes dans les écoles de régions (lave-vaisselle, compost, élimination des bouteilles d’eau en plastique). »
« Je m’engage à écrire un projet de loi ou un règlement afin d’augmenter le compost et son ramassage dans les rues et les lieux plus achalandés. Ce projet pourrait être présenté à ma mairesse. Je m’engage aussi à rester informée et à tenter de rendre mon école plus écologique. »
« Je m’engage à organiser une projection publique d’un documentaire portant sur les changements climatiques et inviter les député.es de l’Assemblée nationale du Québec afin qu’ils soient conscients de ces enjeux et des solutions pouvant être prises pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre. »
« Je m’engage, pour ce quatrième mandat, à être plus présente sur les réseaux sociaux de Sors de ta bulle. J’aimerais écrire et faire des publications et stories inspirantes pour informer les gens sur les changements climatiques. »
« Je m’engage à promouvoir la recherche sur la lutte aux changements climatiques car c’est grâce au travail des scientifiques que nous pourrons trouver des alternatives, notamment à l’utilisation des énergies fossiles. »
« Je m’engage à faire des publications sur les réseaux sociaux et faire la promotion de Sors de ta bulle en partageant des projets qui me tiennent à cœur. Il faut repenser le paradigme de l’environnement: on peut très bien raser la forêt amazonienne avec un bulldozer qui fonctionne à l’énergie solaire ! »
« Je m’engage, pour ce deuxième mandat, à être encore plus présente et active. J’aimerais écrire des lettres aux maires, mairesses et élu.es. Je souhaite avoir le plus grand impact positif possible pour aider l’environnement et les communautés. »
« Je m’engage à instaurer le recyclage de toutes les matières à mon école. »
« Saviez-vous que le parc de la Gatineau est le 2e parc le plus visité au Canada après Banff en Alberta? C’est sûr qu’avec près de 3 millions de visiteurs par année, il y a un impact sur l’environnement. Je m’engage à comprendre la stratégie proposée par la Commission de la capitale nationale fédérale pour atténuer les impacts négatifs du tourisme sur la biodiversité de ce qu’on appelle le poumon vert de l’Outaouais. »
« Je m’engage à aller au conseil municipal de Saint-Apollinaire pour qu’il facilite le transport en commun vers Québec. »
« Je m’engage à faire mon possible pour lutter contre les changements climatiques afin de laisser un monde qui comprend mieux les changements climatiques à la prochaine cohorte de jeunes ministres de l’environnement. »
« Je m’engage à poursuivre mon implication pour l’environnement. Je veux utiliser mon rôle comme jeune ministre afin de partager mes idées et discuter avec d’autres jeunes motivés ainsi que d’influencer ma communauté à agir face à la crise climatique. Je réussis cela en organisant des collectes de déchets, des conférences, des vidéos de sensibilisation et plein d’autres projets. »
Le 21 avril dernier se tenait la journée Influenceurs de système pour les élèves de quatrième secondaire du Collège Jean-Eudes, à Montréal. Fabrication de savon, atelier de réparation de vélo, revalorisation des déchets… Coup d’œil sur cette journée complète consacrée à l’environnement.
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L’écoanxiété peut toucher tout le monde, mais ce sentiment d’angoisse face à un avenir incertain touche particulièrement les plus jeunes. Comment apaiser cette émotion et en faire un moteur pour l’action? Karine St-Jean, psychologue et autrice du livre Apprivoiser l’écoanxiété, nous donne ses trucs.
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Et si les livres de fiction pouvaient nous sensibiliser aux enjeux climatiques? À la suite de sa lecture d’Âmes animales, un roman de José Rodrigues dos Santos, notre jeune journaliste s’est questionné sur le pouvoir des livres. Voici sa réflexion.
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Les événements météorologiques extrêmes se sont multipliés ces dernières années, nous rappelant à chaque occurrence que les changements climatiques sont bien réels. En Outaouais, la tempête de mai a marqué les esprits, mais on se retrousse les manches pour s’adapter aux aléas du climat.
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Manger local, c’est bon pour les papilles et le climat. Voici une ferme qui a poussé le sens du mot « local » au maximum. Ses légumes poussent à Boucherville et sont mangés à Boucherville et ses environs.
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Au camping Val-des-Bois, en Outaouais, on composte depuis l’été 2021. Voici les solutions imaginées par les campeurs et campeuses pour intégrer cette habitude à leur routine.
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« Aller dans divers lieux publics afin de sensibiliser les gens sur les enjeux environnementaux. Exemple: les changements climatiques, les effets néfastes sur la biodiversité, etc. Cela pourrait mener à différents projets pour faire face à ces enjeux environnementaux.»
